Faux semblants

Publié le par louan cotoche






On se retourne sur toi pour ta voiture
Pour tes bijoux, pour ta belle allure
Préfabriquée comme les batiments
Ou s'entasse la populasse survivant.

Toi, tu passes, avec la dernière bagnole
Tu n'as pas peur de jouer au gignol
De la mode, préfabriqué sans originalité
Ta marque de fabrique, triste banalité
De la marionnette très bien manipulée
Comme le joystick d'une console.

On te remarque, par tes marques et tu marques
Les regards, mais surement pas les esprits
Facilité de briller grace a l'argent et la facilité
De le dépenser avant meme de l'avoir gagné.
Génération du plein la vue tu m'as vu je débarque
Dans la société de consommation dernier cri.

Publié dans poemes

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article